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Alençon est un lieu serein où il fait bon vivre. Les maisons traditionnelles faites de blocs équarris de granit, les rues piétonnes, les petits magasins, incitent les touristes à aller se promener dans la ville pour mieux la découvrir. À proximité, la reposante forêt ornaise propose différentes activités au grand air : trek, pêche, ou sports équestres. Réservez un chauffeur privé avec limousine d’Orly à Alençon.

Au début du XIème siècle, Alençon n’est qu’un bourg fortifié : plus importante qu’une bourgade, mais moins que la ville. En 1220, il est acheté aux héritiers de Robert Ier d’Alençon par le roi de France Philippe-Auguste. Deux siècles plus tard, il est érigé en duché-pairie. Entre temps, la Guerre de Cent ans ruine gravement le Duché. Marguerite de Lorraine, veuve de René d’Alençon, vient s’installer dans le château des Ducs, en dépit de la misère à Alençon. Devant le scepticisme des seigneurs du royaume, elle dirige Alençon d’une grande poigne. Elle arrive à améliorer l’administration, la justice, la culture, fait croître l’économie. De plus, elle se tourne surtout vers les problèmes sociaux et d’ordre religieux.

Le rattachement d’Alençon au domaine royal

C’est sous l’influence de Marguerite de Lorraine qu’Alençon accueille favorablement les idées de Luther. À partir de 1529, l’année même où l’art de l’imprimerie apparaît dans la ville, le livre du réformiste intitulé Le Petit Catéchisme y est imprimé par Simon Dubois, imprimeur Parisien. C’est grâce à elle également que sont bâtis le couvent des Clarisses, la Chapelle Saint Joseph du parc du Château et l’achèvement de la construction de l’église Saint-Léonard. Ensuite, au XVIème siècle, la ville d’Alençon est rattachée au domaine royal. C’est dans le château d’Alençon que s’installent Marguerite de France, qui est sœur de François Ier, avec son mari le duc d’Alençon et sa belle-mère, Marguerite de Lorraine.

Quelques informations sur le « Point d’Alençon »

Au XVIIème siècle, la mode de la dentelle apparaît. Alençon se fait alors connaître dans le monde entier. Marguerite de Lorraine tient ici encore une place marquante puisqu’elle aurait introduit le fameux « point-coupé » dans la ville. Elle a offert un manteau de broderie à l’église Saint-Léonard. Alençon devient un foyer explosant de l’art de la dentellerie.

Une dentelle appelée « Point d’Alençon » est créée par Madame La Perrière, sur une imitation du Point de Venise. Cette dame aurait employé près du dixième de la population dans ses entreprises. Colbert ouvre également une manufacture dédiée à la production du Point de France, qui ne durera pas cependant. En 1760, est fondée la fabrique du Point d’Alençon qui connaît des hauts et des bas.

L’ouverture de l’école dentelière

La dentelle d’Alençon finit par subir en mal la concurrence des dentelles mécaniques, et s’éteint en 1925. L’école dentelière a cependant permis de garder la tradition de la Dentelle d’Alençon. Un atelier a été créé pour rappeler aux habitants, touristes et au monde la gloire d’antan de la Dentelle d’Alençon, « l’atelier national du Point d’Alençon ». Demander un service automobile si vous voulez découvrir la ville d’Alençon.

Alençon semble avoir connu pas mal de difficultés sur le plan économique, outre le déclin de ses industries dentellières. Elle était également le foyer de Moulinex, la célèbre marque de petit électroménager, que Jean Mantelet a créé en 1937. L’entreprise a été obligée de fermer ses portes après 65 ans d’existence ; mais elle a été rachetée par le Groupe Seb et sert aujourd’hui d’usine et de magasin de stockage.

Ville chargée d’histoires également, Alençon vous permettra de marcher dans les pas de personnalités célèbres. Le chanteur Daniel Balavoine – dont une de ses chansons est L’Aziza – est par exemple un natif d’Alençon. Le Général Bonet, chevalier de la couronne de fer, est lui aussi né à Alençon et il a donné son nom à une caserne de la ville. L’auteur de La Comédie Humaine, Honoré de Balzac, est également passé à Alençon en 1825 pour écrire quelques romans sous divers pseudonymes. Il y a aussi le Général Charles de Gaulle ou encore Anne-Marie Javouhey, fondatrice de la Congrégation des Sœurs de Saint-Joseph de Cluny. Pour faire le tour de la ville et de ses grands monuments religieux, nous mettons à votre disposition un service de voiture toujours à l’heure.

Le musée des Beaux-Arts et de la Dentelle

La Dentelle a fait connaître Alençon dans le monde entier. Même si, aujourd’hui, elle ne fait plus l’objet d’une grande production faisant appel aux mécanismes et ressources utilisés jadis, elle est encore reproduite par des dentellières durant l’atelier national du Point d’Alençon. Le Musée des Beaux-Arts et de la Dentelle présente cette technique qui fait l’unicité de la ville. Elle détient d’autres patrimoines culturels tels des peintures, dont l’ensemble est conventionnellement appelé « patrimoine muséal alençonnais de peinture, de dentelles et d’ethnographie cambodgienne ». Constitué vers le milieu du XIXème siècle, en 1857, ce patrimoine retrace l’histoire de la dentelle en France et en Europe. La Dentelle au Point d’Alençon est inscrite au Patrimoine Culturel Immatériel de l’UNESCO.

Le centre psychothérapique

À l’origine, l’endroit est appelé « dépôt de mendicité », un lieu « destiné à renfermer les mendiants, les vagabonds et gens sans aveu». Bref, il s’agit d’un endroit décrit comme le rassemblement de toutes les misères humaines. Sa direction est prise par Anne-Marie Javouhey et elle apporte une vision différente de ses occupants et de la manière de les traiter. Il est ainsi renommé en 1831 Hospice départemental des aliénés et d’infirmerie des prisons civile et militaire d’Alençon, puis en Asile départemental des aliénés d’Orne, après 1838.

L’église Saint-Léonard

Saint-Léonard de Vandœuvre aurait quitté sa famille très jeune car il avait décidé de servir Dieu en vivant dans l’austérité pendant des années dans un endroit appelé Saint-Léonard-des-Bois. Il meurt en 570. Ses reliques sont déplacées à Corbigny en 868 pour être protégées des Normands. Elles furent, par la suite, restituées en partie et déposées dans une ancienne chapelle, qui est à l’emplacement actuel de l’église Saint-Léonard. Ce bâtiment s’impose par son intérieur gothique, son style ogival, ses vitraux représentant les armoiries des maisons d’Alençon et de Lorraine. C’est pour rappeler le duc René d’Alençon et son épouse Marguerite de Lorraine, qui ont fait construire l’église sur le site de la chapelle. Saint-Léonard est souvent invoqué pour guérir la surdité.

Le parc des promenades

Sur un domaine de 4 hectares, ce parc est très prisé aussi bien par les locaux que par les touristes. Construit en 1783, il est toujours là encore aujourd’hui. Il a toutefois été rénové en 1999. Situé près du palais de justice et de la mairie, il dispose d’aires de détente qui s’adaptent aussi bien aux grands qu’aux enfants. Les grands ont plusieurs possibilités :

  • se prélasser devant le grand bassin,
  • jouer sur le terrain de boules,
  • pavaner devant les enclos pour animaux.

De temps en temps, les étudiants alençonnais y viennent pour réviser. Pour profiter de son séjour, nous vous proposons un service de transfert professionnel de haute qualité.

Située dans le département de l’Orne, Alençon a fondé sa réputation sur la dentelle. Sachez aussi que la ville se trouve à 88,2 km de La Roche d’Oëtre et à seulement 21 km de la Cathédrale Notre-Dame de Sées. Pour vos transports aéroports, elle est à 213,7 km de l’Aéroport CDG et à 240 km de l’Aéroport d’Orly.

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